La Machine qui avait un Coeur d'enfant.

Prénom: Yayoi
Matricule: C404
Alias: Le Feu Follet
Sexe: Féminin
Age: 17 ans
Taille: 1M62
Poids: Inconnu
Affilié à: Steamborg

Description Physique:
De petite taille, Yayoiest une jeune fille mince et fine aux formes correcte. Des formes de femmes sur son visage enfantin, innocent et blanc de pureté. Ses yeux sont ambré-doré éclatant et peuvent changer de couleur en fonction de son humeur ou mode de fonctionnement. Ils se teintent de rouge pour sa colère, de bleu pour sa tristesse, d'ambre-rosé pour la joie... et de pourpre pour la passion. Deux ailes métalliques de petite tailles, faite de rouages et d’écrous ornent sont dos. Malheureusement ; ces dernière sont cassées et ne servent donc à rien... La jeune fille a les cheveux rouge, court et bouclé. Parfois lisse selon ses envies. Son visage est mince et son expression la plus fréquente est l’étonnement.

Profil Psychologique:
Yayoi s’intéresse à tout. Vivace, elle aime se promener dans les décombres de villes abandonnées à la recherche d'objets humain. Notre jeune Cyborg est une curieuse avant tout ; Passionnée par les humains. Elle souhaite tout apprendre et tout connaître afin de devenir elle-même un peu plus humaine chaque jour.
De nature plutôt méfiante et craintive ; Elle peut avoir peur d'un humain tout en étant éprise de fascination paralysante pour lui/elle.

Histoire Personnelle & Antécédents:
"Il était une fois une petite fille.
dont le coeur était fatigué.
Une enfant pour qui le monde scintille.
Innocente... mais Malade et Esseulée.

Un jour son père créa pour elle,
Une machine qui pris vie sous ses yeux.
Une amie douce et fidèle,
qui rendrait ses jours plus heureux.

La petite fille aimait son amie
Qui n'avait ni langage ni conscience.
Qui l'accompagnerait le restant de sa vie
Dans un apaisant mais lourd silence.

Les deux amie n'avaient pas besoin de mot,
Un regard les faisaient se comprendre.
Aussi la machine devina bien trop tôt
Le destin de sa maîtresse qui ne pouvait plus attendre.

La machine laissa alors couler une larme de ses yeux,
Et s’écrasa sur la main de la fillette sur le point de mourir
Qui lui lâcha avant de lui dire adieu :
Qu'à elle son coeur elle souhaitait offrir.

La machine hérita d'un coeur humain
et s'humanisa alors.
le lendemain elle suivie le train
qui emmenait loin de leur demeure le petit corps.

Les funérailles passées, la machine partit solitaire
à la recherche de petit bout d'humanité.
Espérant faire honneur à ce coeur dont elle était si fière
Et qui gardait en lui tout les souvenirs de cette forte amitié.